Elise Lhomeau partage l'affiche avec de nombreux autres acteurs dont vous pouvez découvrir les prénoms ci-dessous. La filmographie d'elise que nous vous proposons est composée de 1 films et/ou séries.
Sur l'ensemble de ces films, voilà les prénoms des autres acteurs avec lesquels elise a joué, julien, thierry, salim, gregoire, souad, lounes, delphine, magid, sid, lisa. Saurez-vous trouver de quels acteurs il s'agit ?
Les réponses dans la filmographie concernant Elise Lhomeau
Dans le premier film de notre séléction, Le noir (te) vous va si bien, Elise Lhomeau a tourné avec Julien Baumgartner et Thierry Lhermitte. Il a aussi partagé l'affiche avec Salim Kechiouche et Grégoire Leprince-Ringuet. Parmi les autres acteurs du film, on peut citer: Souad Amidou , Lounès Tazairt , Delphine Rich , Magid Bouali , Sid Ahmed Agoumi , Lisa Makhedjouf.
Voilà un bref résumé de ce film avec Elise Lhomeau:
Une famille orientale émigrée, en Europe. Moncef, le père, porte en lui la souffrance du déracinement et le poids de « l’ailleurs ». Sauvegarder sa culture, vivre dans le respect des traditions, c’est pour lui, plus qu’une règle de vie, une manière de rester fidèle à son passé, à son origine et surtout … à lui même.Chaque matin, Cobra, sa fille, quitte la maison familiale. Voilée. Mais chaque matin, elle se change, dans un café, son refuge à elle ; avant de se rendre à son travail, la chevelure et l’esprit libres.. A la maison, Moncef est inquiet : Cobra est encore célibataire et il voudrait bien la marier au plus tôt. Dans l’entreprise où Cobra travaille, le jeune patron est tombé amoureux d’elle. Il est prêt à tout pour l’épouser.Mais Cobra, elle, veut choisir, comme sa mère l’avait fait en son temps avec son père. Elle n’aura pas le temps de présenter « l’homme de sa vie » à ses parents. Un ami de son père les surprend. Dans le café…« C’est en introduisant un « voile » sur la chevelure et le corps féminin et en le soulevant, de façon pudique et poétique que Jacques Bral parvient à écrire un film atemporel et pourtant inscrit dans son temps, un film qui s’élève au delà du religieux en s’inscrivant dans le parti pris du quotidien profane et charnel et c’est en cela qu’il interroge le politique. » (blogs.mediapart.fr)« L’ensemble est d’une opinion hardie, d’une vibrante nécessité. Tout cela est d’une qualité parfaite. On y entend un son inhabituel. Il y brille une flamme assez rare. C’est un film qui brûle. » (lefigaro.fr)« Pas de mots inutiles, très peu de mots, en fait, dans ce film : ce sont les corps et le décor qui expriment la fascination et l’incompréhension entre deux cultures. »(telerama.fr)