Frederick Guillaud partage l'affiche avec de nombreux autres acteurs dont vous pouvez découvrir les prénoms ci-dessous. La filmographie d'frederick que nous vous proposons est composée de 1 films et/ou séries.
Sur l'ensemble de ces films, voilà les prénoms des autres acteurs avec lesquels frederick a joué, christian, bruno, marie-anne, jean-louis, didier, damien, anthony, pierre-andre, vincent, jeanne, antoine, miguel, pascal, lorella, noemie, thomas, benedicte, gaelle, marie-france, alexandre, jeff, stephane, pauline, nastassja, julie, jonathan, nicolas, mickael, fabrice, patrick, nicole, pierre, anne, raphael. Saurez-vous trouver de quels acteurs il s'agit ?
Les réponses dans la filmographie concernant Frederick Guillaud
Dans le premier film de notre séléction, Brassens, la mauvaise réputation, Frederick Guillaud a tourné avec Christian Bujeau et Bruno Lochet. Il a aussi partagé l'affiche avec Marie-Anne Chazel et Jean-Louis Barcelona. Parmi les autres acteurs du film, on peut citer: Didier Pain , Damien Jouillerot , Anthony Decadi , Pierre-André Gilard , Vincent Jouan , Jeanne Corporon , Antoine Crozet , Miguel Ferreira , Pascal Parmentier , Lorella Cravotta , Noémie Elbaz , Thomas Blumenthal , Bénédicte Guilbert , Gaëlle Lebert , Marie-France Santon , Alexandre Hamidi , Jeff Bigot , Stéphane Rideau , Pauline Masse , Nastassja Girard , Julie Voisin , Jonathan Reyes , Nicolas Navazo , Mickaël Batret , Fabrice Roux , Patrick Diwen , Nicole Ney , Pierre Boulanger , Anne Suarez , Raphaël Goldman.
Voilà un bref résumé de ce film avec Frederick Guillaud:
Adolescent facétieux et irrévérencieux, c'est à force de travail acharné et après des années de galère qu'il deviendra l'immense artiste connu de tous. Son goût pour le verbe cru, les copains, son amour pour les femmes, son intégrité, sa fidélité envers ses proches... Écrivain, poète et musicien, le portrait d'un homme libre. Le film (qui pourrait aussi s'appeler " Gare au gorille ! ") illustre ce qui a constitué l'homme et l'immense artiste qu'il est devenu. Baignée dans la lumière de Sète, l'adolescence de Georges est heureuse et tumultueuse. Séduisant et séducteur, ce grand et svelte jeune homme aux allures de dandy est attiré par le jazz, les filles, les copains... bien plus que par l'école, l'Église et les conventions sociales chères à sa mère. Il drague les filles, cherche à monter un groupe de jazz et commet quelques larcins en bande. Et Georges va jusqu'à subtiliser un bracelet appartenant à sa soeur pour le revendre. Lorsqu'une opération tourne mal, la bande est poursuivie par la police... Arrêté, il est condamné à une peine avec sursis et renvoyé de son école. La honte s'abat sur sa famille, et Georges décide de quitter sa ville natale. Les titres " La mauvaise réputation " et " Papa, Maman " notamment, résonnent de sens à l'évocation de cette période. Poussé par Alphonse Bonnafé, un de ses professeurs qui a perçu son talent d'auteur, Georges part, habité par la volonté farouche de " devenir quelqu'un ". Il veut devenir romancier. La guerre éclate. A Paris, Georges est confiné dans l'appartement de sa tante Antoinette. Elle lui offre le gîte mais demeure peu sensible à ses inclinaisons d'auteur. Malgré les privations et l'enfermement, Georges écrit sans relâche.Sa rencontre avec le couple Jeanne et Marcel lui redonne du coeur à l'ouvrage. Bien que plus âgée et mariée, Jeanne devient sa maîtresse et son plus fervent public. Une amitié indéfectible le lie à Marcel, pour qui il écrit " l'Auvergnat ", bien que ce dernier ne le soit pas ! Admiratif de son talent, le couple n'a de cesse de lui tendre la main, de l'héberger et de le pousser dans sa voix d'artiste. Pourtant, son roman ne trouve pas d'éditeur. Mais Georges continue à écrire sans cesse, des textes, des poèmes et parfois des chansons. La guerre le rattrape. Georges est réquisitionné en Allemagne par le STO. Dans le froid de leur baraquement, pour réchauffer les coeurs d'amis qui le suivront toutes sa vie, il entonne des chansons qu'il a composées. Un succès immédiat. Ses compagnons le persuadent de ne pas revenir de permission. Il doit écrire et chanter ! Mais Georges ne se voit pas chanteur. Hébergé et caché dans l'appartement de Jeanne et Marcel, il continue d'écrire, de travailler et multiplie les chansons. Dans les rues de Paris, lorsqu'il s'autorise à sortir, Georges poursuit la merveilleuse apparition d'une jeune femme qu'il a croisée de loin au début de la guerre. Lorsqu'il la croise à nouveau plusieurs années plus tard, il ne la quitte plus et entame avec Püppchen (" petite poupée " en allemand) une grande histoire d'amour. Marcel lui offre sa première guitare et, dès la Libération, Georges courre quelques casting. Sa silhouette s'est épaissie et il porte la moustache. L'homme paraît gauche et mal à l'aise sur scène. Son style, sobre, cru et incisif, est à contre courant des chanteurs de l'époque. Il se fait rejeter. Après toutes ces années de privation et de travail acharné, Georges est en bout de course. Il n'a pas réussi à relever le défi qu'il s'était fixé. Il renonce et décide de repartir à Sète. Aux pieds du train qui doit l'emmener, ses amis le rattrapent. Ils ont obtenu pour lui un dernier casting et le supplient de s'y rendre. Intimidé et mal à l'aise, Georges entonne une chanson devant Patachou... Elle lui en demande une autre et encore d'autres... et finit par lui annoncer, ce soir là, que bientôt, très bientôt, il deviendra plus connu qu'elle... Brassens est né... C'est à la lumière de ce parcours d'artiste que nous découvrons l'homme et les pans méconnus de sa personnalité : son caractère très affirmé, sa sensualité, sa constante mélancolie mais aussi sa formidable énergie, son humour et sa joie de vivre communicative. La quête de l'amour au travers de sa rencontre avec Püppchen, les femmes toujours, les copains d'abord, les chats, les chansons, voilà l'univers de Brassens ; sans oublier la liberté, l'intégrité, la fidélité à ceux qui l'ont accompagné, l'anarchisme, l'anticonformisme, le goût du verbe cru et de la provocation qui ne le quitteront jamais. Ou comment un type parti de rien s'est construit, en une quinzaine d'années de travail acharné et de galères, une personnalité et un bagage intellectuel et culturel qui, ajoutés à son talent, en ont fait l'un des auteurs populaires les plus importants du XXème siècle. Pour mémoire : Georges Brassens est né en octobre 1921, il est mort en octobre 1981, à l'âge de soixante ans. Octobre 2011 sera donc une date doublement symbolique, célébrant les anniversaires de sa naissance et de sa mort.