Suzanne Clément partage l'affiche avec de nombreux autres acteurs dont vous pouvez découvrir les prénoms ci-dessous. La filmographie d'suzanne que nous vous proposons est composée de 2 films et/ou séries.
Sur l'ensemble de ces films, voilà les prénoms des autres acteurs avec lesquels suzanne a joué, johanna, hippolyte, julie, patricia, xavier, pascale, niels, manuel, monique, francis, elise, francois, hugolin, anne, pierre. Saurez-vous trouver de quels acteurs il s'agit ?
Les réponses dans la filmographie concernant Suzanne Clément
Dans le premier film de notre séléction, A la vie, Suzanne Clément a tourné avec Johanna ter Steege et Hippolyte Girardot. Il a aussi partagé l'affiche avec Julie Depardieu.
Voilà un bref résumé de ce film avec Suzanne Clément:
A la fin de la guerre, Hélène tente de retrouver Lily qui a été sa compagne de déportation dans les camps nazis. En 1960, Rose, son amie, retrouve la trace de la jeune femme et fait la surprise à Hélène. Ensemble, elles passent quelques jours au bord de la mer à Berck-Plage. Elles n'ont pas perdu leurs peurs : il faut toujours finir son pain et ne rien jeter. Hélène est mariée à Henri. Bien qu'elle l'aime beaucoup, elle n'est pas heureuse avec lui, leur vie sexuelle étant peu satisfaisante. La jeune femme a du mal à ne pas évoquer les camps alors que ses amies l'encouragent à tourner la page et surtout vivre son idylle avec un jeune maître nageur...
Dans le second film retenu, J'ai tué ma mère, Suzanne Clément était à l'affiche avec Patricia Tulasne et Xavier Dolan. Il a aussi partagé l'affiche avec Pascale Audrey et Niels Schneider. Parmi les autres acteurs du film, on peut citer: Manuel Tadros , Monique Spaziani , Francis Ducharme , Elise Guilbault , François Arnaud , Hugolin Chevrette-Landesque , Anne Dorval , Pierre Chagnon.
Synopsis du film:
Le nouveau prodige du cinéma québécois nous livre un film bouleversant, consacré au dernier festival de Cannes ! Hubert Minel n'aime pas sa mère. Du haut de ses 16 ans, il la jauge avec mépris, ne voit que ses pulls ringards, sa décoration kitsch et les miettes de pain qui se logent à la commissure de ses lèvres quand elle mange bruyamment. Au-delà de ces irritantes surfaces, il y a aussi la manipulation et la culpabilisation, mécanismes chers à sa génitrice. Confus par cette relation amour-haine qui l'obsède de plus en plus, Hubert vague dans les arcanes d'une adolescence à la fois marginale et typique : découvertes artistiques, expériences illicites, ouverture à l'amitié, sexe et ostracisme. 3 prix au Festival de Cannes 2009 (Quinzaine des réalisateurs)