Valère Haberman partage l'affiche avec de nombreux autres acteurs dont vous pouvez découvrir les prénoms ci-dessous. La filmographie d'valere que nous vous proposons est composée de 1 films et/ou séries.
Sur l'ensemble de ces films, voilà les prénoms des autres acteurs avec lesquels valere a joué, salome, vincent, isabelle, jacques, nicolas, jean-pierre, sophie, priscilla, daniel, kevin, anouk, alex, jeanne, ghislaine, gilles, josiane, laurence, patrick, frederic, emmanuel, annette, raphaele, philippe, anne, michel, pierre. Saurez-vous trouver de quels acteurs il s'agit ?
Les réponses dans la filmographie concernant Valère Haberman
Dans le premier film de notre séléction, Joseph l'Insoumis, Valère Haberman a tourné avec Salomé Stévenin et Vincent Debost. Il a aussi partagé l'affiche avec Isabelle de Hertogh et Jacques Weber. Parmi les autres acteurs du film, on peut citer: Nicolas Louis , Jean-Pierre Hebrard , Sophie Vaslot , Priscilla Benmesrouk , Daniel Villattes , Kevin Besson , Anouk Grinberg , Alex Devillers , Jeanne Lepers , Ghislaine Gerard , Gilles Herit , Josiane Dubourdieu , Laurence Côte , Patrick Descamps , Frédéric Guerbert , Emmanuel Dulary , Annette Rivalland , Raphaèle Chapoulard , Philippe Caulier , Anne Coesens , Michel Lambersens , Pierre Karsenty.
Voilà un bref résumé de ce film avec Valère Haberman:
Début des années 60, un bidonville aux portes de Paris. Une poignée de familles survivent sous des abris de fortune dans une misère effroyable et une violence quotidienne. Un homme, le Père Joseph Wrésinski décide de s'installer au milieu de ceux qu'il appelle " son peuple ". Parmi ces familles, celle de Jacques. Sa vie va être transformée par sa rencontre avec le Père Joseph. La sienne mais la vie aussi de ceux qui vont rejoindre le combat de ce curé révolutionnaire. Un combat contre l'assistance et la charité qui dit-il " enfoncent les pauvres dans l'indignité ". Joseph chasse les soupes populaires et installe dans le bidonville un jardin d'enfants, une bibliothèque mais aussi un salon d'esthétique et un foyer féminin avec des machines à laver et un vaste espace de rencontres magnifiquement décoré de toiles de maîtres... Il ouvre des ateliers de mécanique, créé une association qui prend vite des allures de mouvement politique. Car l'enjeu, c'est aussi de faire entendre la voix des plus pauvres et leur permettre de trouver les moyens de vivre dignement de leur travail et d'assurer l'avenir de leurs enfants. Alicia, la mère de Jacques, Rose, son amie, Max, la grande gueule mais aussi le Géant et sa femme, vont vivre ces transformations. Quant à Jacques, il grandit, intrigué par cet homme bourru, exigeant et débordant de tendresse qui " l'oblige " à aller à l'école. Venues du monde des nantis, des jeunes gens s'engagent à ses côtés... Suzanne, Catherine mais aussi Geneviève de Gaulle, la nièce du général, ancienne résistante et déportée qui va lui ouvrir les portes vers les pouvoirs politiques. Mais les oppositions sont farouches à l'intérieur comme à l'extérieur du bidonville. Les responsables politiques sceptiques, méfiants, traitent Joseph de " curé de la racaille " et le considèrent comme un dangereux agitateur. Descentes de police, visites impromptues de technocrates bornés, réunions ou rencontres orageuses à la mairie ou au ministère, les faces à faces entre Joseph et les autorités sont tendus. Dans le bidonville, la misère est telle que la violence et l'insécurité fragilisent le combat du curé. Certains vont le combattre. Des hommes et des femmes englués dans la misère, habitués à survivre de la charité publique qui n'a pas de visage, habitués aux trafics en tous genres qui permettent de sauver sa peau au jour le jour. Bagarres, incendie criminel, coups tordus vont ébranler la lente progression qui réunit ceux qui suivent le Père Joseph. Les enfants du bidonville sont menacés par les assistantes sociales qui rôdent et tentent " de les protéger " en les arrachant à leurs familles. Jacques sera ainsi placé en maison de correction mais il reviendra. A son retour, il retrouve le bidonville et la misère qui s'étale toujours aussi insolente mais très vite, il rejoint le combat de Joseph Wresinski. La solidarité et l'imagination, l'énergie et le courage des uns, le désespoir et la fragilité des autres... Le Père Joseph et ses amis gagnent des batailles. Un quartier en dur sera construit à la place du bidonville. Mais le combat n'est pas finit... " C'était un échec, conclut le Père Joseph car je rêvais de bien plus, un vrai projet politique ambitieux... " Et il conclut en s'adressant à Jacques à la fin du film : " Nous avons pourtant gagné une chose : la dignité, la fierté d'avoir lutté ensemble... et on va continuer... " Trente ans plus tard, au cours d'une grande manifestation en plein Paris, le Père Joseph, fondateur du Mouvement ATD Quart-Monde rassemble des pauvres du monde venus des quatre coins de la planète. Ce jour-là, le 17 octobre 1987, première journée mondiale de refus de la misère, ils prennent la parole et le monde les écoute.